Mes billets
La terrasse
L’idée principale de ce projet de terrasse jardin c’est de créer un espace urbain. C’est à dire un jardin en ville entouré de murs sans utiliser la façon classique de décorer un jardin : avec des végétaux comme en occident ou avec des minéraux comme c’est parfois le cas en Asie, mais d’utiliser les murs comme principal décor.
Les tapis
Quand on m’a demandé si je pouvais réfléchir à une autre façon de voir les tapis, étant sculpteur plasticienne j’ai pensé volume, installation.
J’ai vu ces tapis comme des œuvres d’art : ce sont en fait des installations avec une base de tapis.
Ce concept a mis le feu à mon imagination et de multiples projets ont envahi mon esprit ; une fois le tapis déroulé il suffit de jeter une poignée de pétales alentour pour certains, de disposer des pyramides dossiers pour d’autres ou bien encore de fixer un rétroprojecteur, qui, une fois allumé, fera couler le ruisseau entre les galets.
Les oppositions
Oppositions, des parties fines en haut, et... larges vers le bas !
C'est un message de paix et de tolérance. Et encore, tolérance, ce n'est pas le bon terme ! La tolérance, c'est s'accepter, se supporter ; alors que mon message va plus loin. C'est l'absolue nécessité d'échanger pour évoluer, pour s'enrichir : l'échange de culture, c'est l'enrichissement de la culture.
Dans un premier temps, j'ai choisi les disproportions parce que je me refusais à démontrer l'évidence : proportion classique ou forme à la mode (femme mince et bien faite) égale beauté. Comme beaucoup de créateurs, je voulais démontrer que la beauté pouvait se trouver ailleurs, par exemple dans la représentation de femmes monstrueuses (éléphantiasis), bras ou jambes de longueurs différentes ou tout simplement convenues comme laides, jambes courtes et grosses, obésité, etc.
brutes de fonte
C'est un message de paix et de tolérance. Et encore, tolérance, ce n'est pas le bon terme ! La tolérance, c'est s'accepter, se supporter ; alors que mon message va plus loin. C'est l'absolue nécessité d'échanger pour évoluer, pour s'enrichir : l'échange de culture, c'est l'enrichissement de la culture.
Dans un premier temps, j'ai choisi les disproportions parce que je me refusais à démontrer l'évidence : proportion classique ou forme à la mode (femme mince et bien faite) égale beauté. Comme beaucoup de créateurs, je voulais démontrer que la beauté pouvait se trouver ailleurs, par exemple dans la représentation de femmes monstrueuses (éléphantiasis), bras ou jambes de longueurs différentes ou tout simplement convenues comme laides, jambes courtes et grosses, obésité, etc...
Mes photos
Depuis plus de cent cinquante ans que la photographie existe. Les tirages sont toujours rectangulaires et à regarder avec un côté vertical, un horizontal et sur papier glacé. Mais bien souvent pour ne garder que l‘essentiel, ce cadrage ne me convient pas, j'en ai donc choisi un autre qui me permet de mieux cibler mon sujet et de ne garder que ce qui m'intéresse en éliminant le superflu, mais ce n'est pas obsessionnel, le cadrage traditionnel peut me convenir aussi.
Angle droits
Angles droits
Pourquoi toujours ces angles droits ?
Pourquoi l’homme a toujours utilise l’ang|e droit dans ses constructions ?
Aucune alternative, ce sera l’angle droit ou pas d'angles du tout comme pour les iglous, les tipis et certaines certaines huttes. Le carré le rectangle et le cercle constituent la base de l’architecture de toutes les civilisations de tous les temps sur toute la planète pourquoi ?
Aussi loin que je me souvienne
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours peint ou modelé quelque chose. Mes premiers souvenirs datent de la maternelle. les premiers contacts avec la peinture, la pate àmodeler... Ensuite a l'école primaire en rentrant le soir, je dessinais au lieu de faire mes devoirs.
Mais, ce n'est qu'au Lycée que j’ai eu la possibilité de faire mes premières sculptures avec le professeur de travail manuel, c'est là que je me suis rendue compte que je voulais devenir sculpteur, je savais que je ne pourrais pas vivre sans créer.